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REVISTA TRIPLOV
de Artes, Religiões e Ciências
nova série | número 40 | agosto-setembro | 2013
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RICHARD KHAITZINE
L’affaire de Philadelphie
Info ou intox?
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EDITOR |
TRIPLOV |
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ISSN 2182-147X |
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Contacto: revista@triplov.com |
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Dir. Maria Estela Guedes |
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Entendu
sur les ondes d’une radio française en août 2006 : « La science
s’intéresse de très près à la téléportation. Toutefois il n’est pas
question de téléporter des hommes ou des objets. Les recherches visent
en priorité à agir sur les atomes à des fins médicales. »
La véritable question est de savoir « s’il n’en est pas
question » ou « s’il n’en est plus
question »… la nuance est importante.
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Introduction.
En 1990, craignant le pire concernant l’avenir de la planète, je
décidai de m’atteler à la rédaction d’un ouvrage dénonçant les
désastreuses conséquences de la politique
mondiale, menée par des irresponsables, en matière d’énergie.[1]
Avec seize ans d’avance, je tentai vainement d’alerter l’opinion quant
au réchauffement climatique et à ses répercussions dramatiques sur
l’avenir de la Planète. Aujourd’hui, bien plus qu’hier, je suis
convaincu que le danger d’un effet de serre, causé par les dégagements
de dioxyde de carbone, n’est pas le péril majeur. Un danger, bien plus
grave, menace d’annihiler toute vie sur la Terre : la pollution
électromagnétique. Cette forme de pollution ne concerne pas uniquement
l’utilisation des ondes liées aux nouvelles technologies (ordinateurs,
téléphones mobiles etc.). Ses effets les plus pervers sont générés par
les armes psychotroniques, armes issues directement des travaux d’Albert
Einstein, de Nikola Tesla, d’Abrams et de Galen Hieronymus – pour ne
citer que quelques scientifiques ayant travaillé sur les ondes – et qui
sont des déviations de la science fondamentale, en particulier de ce que
l’on nomme la radionique. Tout semble avoir débuté en pleine
Seconde Guerre mondiale, alors que l’issue de ce conflit demeurait
incertaine. L’Allemagne nazie s’enlisait sur le front de l’Est quand, en
février 1943, les armées de von Paulus furent écrasées à Stalingrad. Dès
lors rien n’empêchait la contre-offensive russe. Sous la pression de
Staline, les États-Unis et l’Angleterre acceptèrent l’ouverture d’un
second front en Europe. En 1944, les Soviétiques furent confrontés à une
nouvelle arme, des antennes paraboliques dont les ondes décimaient leurs
troupes. Cette arme, aux effets effrayants, était l’ancêtre du laser.
On parla de rayon de la mort. Finalement les Soviétiques s’en
emparèrent. Ils l’utilisèrent, lors de la Guerre de Corée, établissant
ce que l’on a appelé l’allée des migs.
[2]
La victoire de Stalingrad fit-elle
redouter aux Américains que les Russes soient les premiers arrivés à
Berlin ? Sans doute. Toujours est-il que, quelques mois après
Stalingrad, ils s’évertuèrent à mettre au point des armes non
conventionnelles. L’une de ces armes fut testée en octobre 1943, lors de
l’Expérience de Philadelphie. À dater de cette époque, le monde
entra dans une spirale infernale.
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Les
confidences de Charles Berlitz.
Il fallut attendre 1979 pour qu’émergent des informations
relatives à cette affaire. Cette année-là, fut publié un ouvrage,
intitulé The Philadelphia experiment. Il était signé Charles
Berlitz. Ce que racontait l’auteur paraissait tellement invraisemblable
que le livre fut considéré comme
un tissu d’affabulations à mettre sur le compte de la paranoïa
dont étaient atteints les maniaques de la théorie du complot. C’était
aller un peu vite en besogne, car l’auteur n’avait rien d’un farfelu.
Charles Frambach Berlitz (1914-2003) fit ses études à l'Université de
Yale, dont il sortit diplômé en 1936. Petit-fils de Maximilien Berlitz,
le fondateur de la célèbre école de langues du même nom, il poursuivit
les affaires de celui-ci. Parlant 25 langues avec diverses facilités,
considéré comme l'un des quinze plus éminents linguistes dans le monde,
il fut sollicité pour former les militaires lors du début de la Seconde
Guerre mondiale. Après la guerre, il s'orienta vers le marché
international.
Neuf
ans avant la sortie du livre, deux aviateurs, Allen Huse, un Texan, et
James Davis, du Maryland, firent une rencontre insolite. Les deux hommes
étaient cantonnés à la base aérienne de Colorado Springs. Alors qu’ils
se promenaient aux environs du War Memorial Park, Davis fut abordé par
un individu dont l’allure lui parut étrange.[3]
Petit, de mise plutôt négligée, l’homme était insignifiant. Moins
insignifiants furent les propos de ce personnage. Il confia avoir été
officier, autrefois, dans la Navy. Pendant la guerre, précisa-t-il. Puis
il ajouta « qu’ils lui avaient fait des trucs… qu’ils l’avaient balancé…
en le déclarant dingue. » L’individu jura qu’il n’était pas fou, qu’il
avait participé à une expérience et que cette expérience était
responsable de son état. Suite à quoi il exhiba une vieille carte
d’identité de la Navy.
Sceptique, mais intrigué, Davis lui demanda de quelle nature
était cette expérience. L’ancien marin lui répondit : « L’invisibilité…
ils ont essayé de rendre un bateau invisible. Le plus parfait des
camouflages, si ça avait marché. En fait, ça a marché ! Enfin… avec le
navire. Parce que, avec nous autres, à bord, eh bien ça n’a pas
fonctionné si bien que ça. Nous ne pouvions pas supporter les effets du
champ énergétique qu’ils utilisaient. Ça nous faisait des trucs… »
Naturellement, Davis était très dubitatif. Comment aurait-il pu
savoir, qu’en 1943, les laboratoires américains travaillaient sur
l’anti-gravité et l’invisibilité ? Interrogé par Davis, l’inconnu
mentionna un camouflage électronique, produit par des champs « d’énergie
pulsatoire ». Il se montra incapable d’en préciser la nature mais
affirma qu’il était impossible d’en supporter les effets. Selon lui,
certains de ses compagnons voyaient double, d’autres se mettaient
à rire et à tituber comme des ivrognes, quelques-uns
s’évanouissaient. Certains prétendirent qu’ils étaient passés dans un
« autre monde » et qu’ils avaient parlé avec d’étranges créatures qui le
peuplaient. Toujours, selon leur interlocuteur, dans certains cas, ces
effets furent durables et il avait entendu dire, plus tard, que
plusieurs de ces hommes étaient morts. Toujours est-il qu’il ne les
avait jamais revus. Quant aux survivants, ils furent déclarés inaptes,
impropres au service et limogés pour déséquilibre mental, après
« qu’on » ait essayé de les convaincre que « rien de tout ceci n’était
arrivé » et leur avoir fait jurer le secret.
Les deux aviateurs quittèrent l’inconnu et
retournèrent à la base, ne sachant que penser de cette histoire.
Finalement, Davis quitta la Navy et Huse fut muté. Les deux militaires
se perdirent de vue. En janvier 1978, Davis tomba sur un livre de
l’écrivain Charles Berlitz, un ouvrage consacré au Triangle des
Bermudes. Quelle ne fut pas sa stupéfaction d’y lire un passage faisant
état de la prétendue « expérience de Philadelphie » durant laquelle, au
cours de la seconde guerre mondiale, un escorteur et son équipage
auraient été rendus invisibles après exposition à un champ de force.
Davis contacta l’auteur et lui parla des confidences reçues en 1970.
Charles Berlitz retrouva la trace de Huse, qui lui confirma les dires de
Davis. Que fallait-il penser de l’histoire racontée huit ans plus tôt
par un inconnu aux deux aviateurs ? Ses propos contenaient-ils une
parcelle de vérité ? L’homme avait-il effectivement été témoin de la
téléportation d’un navire entre Philadelphie et Norfolk ? Le fait qu’il
se soit agi d’un mythomane ne pouvait être écarté. En revanche, depuis
plus de vingt ans, une rumeur circulait, faisant état d’expériences
secrètes, menées par l’U.S. Navy, durant la guerre. « On » évoquait un
champ de force électronique dont la Navy aurait perdu le contrôle…
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Le démenti de la Navy.
Toujours est-il que, dans les années 70, le public exerça une
forte pression sur l’U.S. Navy, réclamant des informations au sujet de
ces expériences. Les passions s’exacerbaient. Les autorités du
département concerné nièrent toute implication et, selon elles, cette
affaire ne relevait que de la légende. Une lettre circulaire fut rédigée
et adressée à tous ceux qui souhaitaient obtenir des précisions quant
aux événements d’octobre 1943. Le coût de cette opération de
communication, visant à calmer les esprits, aurait été estimé à deux
millions de dollars, ce qui paraît élevé s’appliquant à démentir « une
légende » !
Pour l’édification de nos lecteurs, nous donnons, ci-après, la
traduction de ce chef-d’œuvre de prose issu de la bureaucratie
militaire. Daté du 23 juillet 1975, ce courrier était à entête du
Département de la Navy, bureau d’information, sis à Washington DC 20350.
« Nous avons reçu au cours des années passées d’innombrables
demandes de renseignements au sujet de la prétendue expérience de
Philadelphie ainsi qu’au rôle supposé du Bureau de la recherche navale
(B.R.N.). Tout naturellement, le nombre de ces demandes s’accroît chaque
fois qu’il est fait mention de cette affaire dans la presse à fort
tirage ou, le plus souvent, dans un ouvrage de science-fiction.
La genèse du mythe de l’expérience de Philadelphie remonte à
1955, lors de la publication de La
Question des O.V.N.I.’s due à feu le docteur Morris K.
Jessup, un scientifique qui, au cours d’une carrière mouvementée, obtint
un doctorat en astrophysique.
Peu après la parution de ce livre, le docteur Jessup reçut une
lettre adressée par un certain Carlos Miguel Allende qui disait habiter
à New Kensington, en Pennsylvanie. Dans cette lettre, Allende commentait
l’ouvrage du docteur Jessup et lui livrait des informations concernant
une prétendue expérience navale secrète qui aurait eu lieu à
Philadelphie en 1943. Si l’on en croit Allende, l’expérience aurait eu
pour objet de rendre un
navire invisible puis de lui faire accomplir en l’espace de quelques
minutes le trajet Philadelphie-Norfolk et retour avec, pour conséquence,
de terribles effets secondaires pour les membres de l’équipage. Cet
exploit inconcevable aurait été réalisé grâce à une application de la
théorie restée inachevée d’Einstein sur le champ unifié. Allende prétend
avoir assisté à l’expérience alors qu’il se trouvait sur un autre
bâtiment et que l’événement fut mentionné par un journal de
Philadelphie. On ne sait cependant de quel journal il s’agit et, d’autre
part, la véritable identité de ce Carlos Allende n’a jamais pu être
clairement établie.
En 1956, un inconnu adressa un exemplaire du livre de Jessup à
l’amiral Furth, responsable de la recherche au ministère de la Marine.
Les pages en étaient couvertes de remarques et d’annotations manuscrites
apparemment rédigées par trois personnes différentes ayant l’une après
l’autre détenu l’exemplaire. Ces notes semblaient trahir une grande
connaissance du phénomène O.V.N.I., donnant des détails sur leur moyen
de propulsion, et aussi sur l’ethos et la culture de leurs occupants.
Le livre parvint entre les
mains de deux officiers alors affectés au B.R.N. qui, à titre
personnel, s’intéressaient fort aux questions qu’il traitait. Ils
prirent contact avec le docteur Jessup et lui demandèrent de jeter un
coup d’œil sur l’exemplaire annoté de son ouvrage. Reconnaissant son
style et son écriture caractéristique, Jessup conclut que certaines des
annotations étaient de la main de celui qui lui avait écrit à propos de
l’expérience de Philadelphie. Ce furent ces deux mêmes officiers qui
firent reproduire à vingt-cinq exemplaires la version annotée du livre.
Ces deux officiers et leurs effets personnels ont quitté le B.R.N.
depuis plusieurs années, si bien que nous ne possédons pas même l’un de
ces exemplaires annotés.
Aucune étude officielle de ce texte interligné n’a été menée par
le Bureau de la recherche navale. En ce qui concerne l’expérience de
Philadelphie, disons que le B.R.N. ne s’est jamais occupé d’expériences
sur l’invisibilité, ni en 1943 ni à aucun autre moment (le B.R.N. n’a
été fondé qu’en 1946). À la lueur des connaissances actuelles, nos
scientifiques estiment qu’une telle expérience est totalement
impossible, sinon dans l’imagination d’un auteur de science-fiction. Une
découverte d’une telle importance, si elle avait eu lieu, n’aurait sans
doute pas pu demeurer secrète pendant tant d’années.
En espérant que cette lettre répond aux questions que vous vous
posiez,
Sincèrement, »
Cette lettre circulaire était signée Betty W.
Shirley, Chef des relations avec le public.
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Morris Jessup et les lettres d’Allende.
Morris Ketchum Jessup fut astronome, astrophysicien,
mathématicien, chercheur, conférencier, écrivain. Jessup tenait son
prénom d’un oncle à héritage, un financier, roi des chemins de fer qui
avait, au XIXe siècle, été un philanthrope réputé.
Morris K. Jessup vit le jour à Rockville, en Indiana, le 20 mars
1900. À dix-sept ans, dès l’entrée en guerre des États-Unis, il
s’engagea. Il obtint le grade de sergent. À la fin du conflit, il reprit
ses études et devint chargé de cours en astronomie et en mathématiques à
l’université Drake (Des Moines, Iowa) puis à l’université du Michigan, à
Ann Arbor. À la fin des années vingt, alors qu’il
préparait un doctorat, il partit en Afrique du Sud avec une
équipe de chercheurs affectée à l’observatoire de Bloemfontein, capitale
de la province d’Orange. Là il poursuivit un programme de recherche.
L’observatoire était équipé d’un télescope optique qui était le plus
puissant de l’hémisphère sud. Jessup découvrit plusieurs étoiles
doubles. Ces étoiles figurent au catalogue de la très sérieuse Royal
Astronomical Society de Londres. Ceci pour dire que Jessup n’avait rien
d’un « doux dingue ». Ce ne fut pas une, mais trois lettres qui lui
furent adressées par un mystérieux correspondant du nom d’Allende. La
première, en 1955, la seconde le 13 janvier 1956 et la troisième le 25
mai 1956. Allende signa également Carl M. Allen. De quoi était-il
question. ? Selon « Allende », en octobre 1943, alors qu’il se trouvait
à Philadelphie, à bord du navire Andrew Fureseth, il avait été le
témoin de la dématérialisation
d’un navire, le USS Eldridge, puis de son retour à quai, quelques
minutes plus tard. Selon lui, le navire s’était matérialisé près de
Norfolk, avant de disparaître et de réapparaître à son port d’attache.
Ces lettres étant fort longues, nous ne pouvons les reproduire ici en
totalité et nous contenterons d’en citer quelques extraits.
[4]
Allende prétendait : « Je me dois encore de Mentionner que, d’une façon
ou d’une autre, le Navire Expérimental a disparu de son quai à
Philadelphie, pour réapparaître, Quelques Minutes Seulement Après, à son
autre Quai, à Newport News près de Norfolk. Ceci fut clairement ET
distinctement Établi Mais le vaisseau Disparut alors A Nouveau
pour Revenir à son quai de Philadelphie au bout de Quelques Minutes à
peine. Cela aussi fut mentionné dans les journaux Mais j’ai oublié dans
lequel je l’ai lu ou quand c’est arrivé. Probablement à la Fin
des Expériences, Peut-être en 1946, après que les expériences ont
été interrompues, mais je ne Peux pas l’Affirmer. »
Sur les effets produits, il écrivait : « Le Champ étendait ses
effets selon une forme sphérique aplatie, jusqu’à une centaine de yards
(Plus ou Moins en fonction de la phase Lunaire et de la Latitude)
au-delà de chaque flanc du bâtiment. Chaque Personne comprise dans cette
sphère devint floue à la vue MAIS Elle aussi distinguait les autres
Personnes à bord du vaisseau comme se trouvant dans le même état, et
comme marchant sur le néant. Ceux qui étaient en dehors de la sphère ne
voyaient alors plus Rien, à l’exception de la Forme de la Coque du
Navire clairement dessinée dans l’Eau Pourvu bien sûr qu’ils soient
assez près pour voir, c’est-à-dire juste en dehors du champ. Pourquoi
vous dire tout cela Maintenant ? C’est Très Simple ; Si vous avez envie
de devenir Fou, alors vous ferez état de cette information. La moitié
des officiers & des membres de l’équipage de ce Bateau sont à Présent
aussi Fous que le Chapelier du même nom.
[5]
Quelques-uns sont encore reclus dans certains endroits où ils peuvent
recevoir l’aide Scientifique appropriée quand ils deviennent
Transparents ou bien Transparents et Paralysés. Devenir Transparent
n’est PAS du tout une expérience déplaisante pour des Marins doués d’une
Curiosité Salutaire. En tout cas, c’est quand ils deviennent aussi
Paralysés qu’ils appellent ça un Tour en Enfer. Un homme ainsi paralysé
Ne Peut pas Bouger par sa propre volonté à moins que deux ou plus de
deux hommes placés à l’intérieur du champ n’aillent le toucher, vite,
sinon il est « Congelé ».
Si un Homme gèle, sa position doit être Relevée scrupuleusement
et le Champ doit être coupé. Tout le monde, sauf cet Homme « Gelé » est
en mesure de Bouger ; de recouvrer une apparente Solidité. Alors, le
membre le Plus Récent de l’équipage doit s’approcher du Point où il
trouvera Le Visage ou la Peau nue, qui n’est PAS couverte par l’Uniforme
habituel, de l’Homme « Gelé ». Parfois, cela prend une heure ou à peu
près, parfois une journée et une nuit entières, et Au Pire, il Fallut
une Fois 6 mois, pour « Dégeler » l’Homme. Cet état de
« Congélation Profonde » n’est pas d’ordre psychologique. C’est le
fait d’un Hyper Champ qui intervient à l’intérieur du champ et du Corps
alors qu’un Champ « Usé » est lâché sur ou sur toute la
longueur d’une Vieille Main.
Un Appareillage d’une Grande complexité a dû être construit dans
le but de Dégeler ceux qui ont été « Vraiment » ou « Profondément
Gelés ». Ordinairement un Homme « Profondément Congelé » devient Fou,
Divaguant, Balbutiant, Dément, si son état dure plus d’une Journée de
notre temps.
Je dis cela car les Hommes « Profondément Gelés » ne perçoivent
pas le Temps comme Nous le percevons. Ils sont comme les gens en état
Semi-comateux, qui vivent, respirent, voient et ressentent mais sont
inconscients de Tant de Choses qu’ils sont Plongés dans un
« Outre-Monde ». Un Homme Gelé d’une façon plus habituelle
a conscience du Temps, et parfois d’un façon très aiguë.
Cependant, ils n’ont Jamais la même conscience du Temps que vous
et moi. Le Premier « Gelé Profond » n’a été récupéré comme je l’ai dit
qu’après 6 mois. Il en coûta plus de 5 millions de Dollars d’équipement
électronique. Si, aux alentours de la Base Navale de Philadelphie, vous
voyez un groupe de Marins en train de placer leurs mains sur un
camarade ou de les étendre dans « l’air libre », observez les
doigts et les appendices de l’Homme Paralysé. S’ils vous semblent faire
des signes, comme devant un Mirage, dépêchez-vous & Mettez VOS
Mains sur Lui. Car cet Homme est l’être le Plus Désespéré du Monde.
Pas un seul de ces Hommes n’a jamais souhaité redevenir invisible.
Je Ne crois pas qu’il soit Bien Utile d’expliquer Maintenant
Pourquoi l’Homme n’est pas Prêt à se servir des Champs
de Force. Hein ?
Vous Entendrez dans la Bouche de ces Hommes des phrases du genre
« Pris dans le flux » (ou dans la Poussée) ou bien « Resté en carafe »
ou « Attrapé par la mélasse » ou « J’allais à toute Vitesse », qui font
référence dix Ans après aux Effets à retard du Champ de Force. « Pris
dans le Flux » Décrit exactement la situation d’un Homme qui a
l’impression d’être « Attrapé par la mélasse » alors qu’il passe en état
de « Congélation Profonde » ou de « Congélation Normale ». Il dit qu’il
est Pris dans la Poussée quand il sent qu’il VA inopinément Devenir
Invisible ou qu’il est sur le point d’être Gelé, Profondément ou
Pas.
Il ne reste plus que très peu de membres de l’équipage qui se
trouvaient à l’Origine sur le Destroyer, Monsieur. La plupart sont
devenus fous, l’un d’eux est tout simplement Passé « à travers » du Mur
de ses quartiers, en présence de Sa Femme, de son Enfant et de deux
Autres Membres de l’Équipage (QUI NE L’ONT JAMAIS REVU), deux « Sont
partis en Fumée, CIE qu’ils ont « Gelé » au point de se consumer, alors
qu’ils transportaient un banal Compas et Prit feu, et l’autre qui se
trouvait le plus Proche de lui s’approchant pour « lui Imposer les
Mains » brûlant à son tour. ILS ONT BRÛLÉS PENDANT DIX-HUIT JOURS. Cela
Détruisit toute foi en l’ «Imposition des Mains » et beaucoup d’Hommes
en perdirent la Raison. L’expérience Fut un Complet Succès. Pour les
Hommes, l’Échec Fut Total.
Consultez le Journal de Philadelphie à propos d’un tout petit
paragraphe (Moitié supérieure de la Feuille du Journal, la Colonne 3
environ, au Printemps ou en Automne ou en Hiver 1944-1946, PAS l’Été)
qui décrit l’Attitude des Marins à l’issue de leur Voyage initial. Ils
ont fait une Descente dans un Établissement situé dans la Base Navale et
ont causé un tel Choc et une telle Stupeur à la Serveuse qu’on n’a pas
pu lui tirer Grand-Chose d’intelligible et que l’Auteur du Paragraphe ne
l’a Pas Cru et a Écrit : « J’ai seulement rapporté ce que j’ai
entendu. Tout ce que j’ai obtenu est une histoire à ne pas Lire la
Nuit. »
Allende affirma que l’expérience de Philadelphie reposait sur la
théorie des champs unifiés d’Albert Einstein et que le savant participa
à la mise au point du projet. Jessup mourut, trois ans plus tard.
Jacques Bergier rapporta ce qui suit dans l’un de ses ouvrages,[6]
sans toutefois établir de lien avec le fameux projet : « Maurice K.
Jessup, qui s’intéressait particulièrement aux portes induites où il
voyait la source des soucoupes volantes, fut trouvé mort dans sa voiture
le 20 avril 1959 en Floride, une balle dans la tête.
[7]
On ne découvrit jamais l’assassin.
Jessup avait envoyé un rapport à la section de recherches du
Service secret de la Marine américaine. Ce rapport a disparu, mais des
photos ont été prises, et qui circulent encore. »
Et d’ajouter :
« Je connais des gens qui en ont vu. Il serait intéressant de
savoir si les portes induites émettent des ondes de gravitation… »
Officiellement, Jessup se suicida en inhalant de l’oxyde de
carbone. Selon son ami, le naturaliste Ivan Sanderson : « les étranges
circonstances entourant l’affaire Allende avaient été directement à
l’origine de la série d’événements » ayant abouti à la mort du docteur.
Quelques mois avant sa mort, Jessup avait été victime d’un étrange
accident dont il ne s’était jamais remis. En outre, ses éditeurs lui
avaient refusé plusieurs ouvrages, déclarés « non adéquats ».
Toujours selon Sanderson, bien que Jessup se soit laissé
mystifier par le mystérieux Allende, ses lettres contenaient trop de
choses pour être ignorées. Il ajouta que le mystère Allende méritait
plus qu’aucune affaire de plus amples recherches. Les investigations
menées par Charles Berlitz, et notamment la consultation du rapport de
police, battent en brèche la version officielle. Ce dossier établissait
« qu’au moment de sa mort, il y avait dans le sang de Morris Jessup une
dose d’alcool supérieure à ce qu’il est convenu de considérer comme la
dose létale (…) que Jessup prenait, à l’époque, des médicaments qui,
combinés avec une telle quantité d’alcool, l’auraient probablement
foudroyé sur-le-champ – ou, pour le moins, lui auraient ôté toutes ses
facultés. Il paraît donc exclu qu’il ait pu dans ces conditions prendre
son automobile, parcourir plusieurs miles, écrire quelques lignes
d’adieu, puis raccorder finalement un tuyau au pot d’échappement de son
véhicule. » Aucune autopsie ne fut pratiquée sur le corps, ce qui est
plutôt inhabituel en cas de suicide. Bien sûr, rien
ne prouve qu’il se soit agi d’un meurtre.
Néanmoins, le témoignage ci-après mérite d’être pris en compte.
Quand, en 1975, Charles Berlitz
aborda pour la première fois les relations Jessup-Allende, dans un livre
intitulé Le Triangle des Bermudes,
il avait eu la chance de découvrir un témoin, en la personne du
docteur J. Manson Valentine. Valentine, océanographe, zoologiste et
archéologue, étudiait depuis plus de trente ans l’énigme du Triangle des
Bermudes qui, tel une goule, monstrueusement vorace, avalait navires et
avions, sans jamais rien en restituer. Il se trouva que Valentine était
également l’ami de Jessup alors que ce dernier vivait en Floride. Les
deux hommes avaient passé de longues heures à discuter et ce au cours
des mois qui précédèrent la disparition tragique de Jessup. Valentine et
Jessup s’étaient vus le 20 avril 1959. Il était prévu qu’ils se
retrouvent le soir même au domicile de Valentine afin de dîner. Jessup
n’y arriva jamais.
Naturellement, Berlitz demanda à Valentine pourquoi, à son avis,
Jessup s’était suicidé. Il fut grandement étonné par la réponse du
scientifique :
« Si… S’il s’est suicidé, on peut attribuer cela à son état
de profonde dépression. La Navy lui avait demandé de continuer à
travailler sur l’expérience de Philadelphie, ou sur de semblables
projets, mais il avait refusé…, il en craignait les redoutables
conséquences. Peut-être aurait-on pu le sauver. Quand on l’a découvert,
il vivait encore. Peut-être lui a-t-on permis de mourir. »
Selon Valentine, Jessup lui avait confié que l’expérience avait
été menée à l’aide de ces appareils connus dans la marine sous le nom de
« dégausseurs » et que ces appareils vibraient à des fréquences audibles
« créant un formidable champ magnétique sur et autour d’un navire ». En
outre, Valentine corrobora les dires d’Allende concernant les effets de
l’expérience sur les membres d’équipage. Il révéla à Berlitz que Jessup
lui avait confié avant de mourir « être sur le point de découvrir une
explication scientifique à ce phénomène » et que cette explication se
fondait sur la théorie du champ unifié énoncée par Albert Einstein.
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Les
résultats de l’enquête de Charles Berlitz.
Berlitz rencontra son correspondant au début des années 70. Au
cours de leur conversation, Allende, alias Carl Meredith Allen, lui
donna un certain nombre de détails. L’écrivain s’empressa de vérifier.
Une partie des informations livrées s’avéra erronée. Reste que les noms
des deux navires mentionnés étaient exacts et qu’il semble bien qu’ils
aient été présents, en octobre 1943, dans le port de Philadelphie. Si
des journaux avaient mentionné un incident dans un bar, incident au
cours duquel des marins en bordée disparurent et réapparurent sous les
yeux d’une serveuse affolée, personne ne retrouva le moindre article. Il
est vrai q’un enquêteur affirma que certains numéros étaient incomplets…
Et à Norfolk, exista-t-il des témoignages pouvant corroborer
cette affaire ? Tony Wells, résidant à Southampton, relate que cinq
hommes de la marine marchande britannique se trouvaient, en 1943, à
bord de liberty ships qui, à Norfolk, attendaient de repartir
pour l’Angleterre. Un jour,
alors qu’ils se trouvaient sur les quais, ils virent, avec stupéfaction,
se former sur l’eau une sorte de nuage. Le nuage disparut aussi
vite qu’il était apparu, abandonnant, comme par magie, devant
leurs yeux, la masse d’un escorteur. L’escorteur resta là pendant
quelques instants, puis le nuage revint et de nouveau s’évanouit avec le
bâtiment. Les marins en étaient encore à se demander s’ils n’avaient pas
rêvé lorsque la Sécurité navale fit évacuer la Zone. Désireux de rentrer
en Angleterre, ils jugèrent prudent qu’il valait mieux ne rien dire des
« expériences de camouflage sur lesquelles travaillaient les Yankees ».
Une expérience, semblable à celle du Philadelphia, fit
l’objet d’un mémorandum confidentiel adressé par le ministère de la
marine à certains officiers et membres d’équipage. C’est du moins ce que
prétend Frederick Tracy, un vétéran de la Seconde Guerre, qui a servi
sur trois bâtiments dont le U.S.S. Antietum CV 36. Tracy
avait entendu parler de cette histoire par un compagnon de bord, le 1ère
classe D.J. Myers lequel était affecté à la chaufferie. Leur
conversation eut lieu lors d’un arrêt en cale sèche à Philadelphie, en
1944.
Myers lui avait désigné le quai voisin et dit : « Tu vois
ce quai, là-bas ? C’est là qu’un bateau a disparu, une fois. » Tracy
n’en crut pas un mot et Myers ajouta : « Je savais bien que tu ne me
croirais pas. »
L’année suivante, lorsque l’Antietum entra dans le port de Philadelphie afin de procéder à une
démagnétisation, une rumeur circula, selon laquelle une « nouvelle
expérience de Philadelphie » se préparait. Le commandant réunit
l’équipage afin de faire taire la rumeur, et s’efforça de rassurer les
hommes. Il leur lut le mémorandum émanant du ministère de la Marine. Au
milieu de la lecture, Tracy se tourna vers Myers. Celui-ci arborait un
sourire entendu…
D’après les souvenirs de
Tracy, le mémorandum décrivait l’incident de la façon suivante. Un petit
patrouilleur avait disparu au cours d’une opération de démagnétisation,
le 28 octobre 1943, surgissant brusquement à Norfolk, puis revenant,
soudainement, à quai à Philadelphie. À son bord, plusieurs hommes
d’équipage étaient portés manquants, tandis que d’autres présentaient
des troubles aussi bien mentaux que physiques. Bien que l’auditoire fit
preuve d’incrédulité, le commandant fit savoir que « mentionner ou
raconter l’incident en dehors des limites du bâtiment serait considéré
comme un acte de haute trahison. »
Cette communication
fut consignée dans le livre de bord de l’Antietum,
en mai 1945. L’officier était le commandant Teague. Son second était le
commandant Haywood. Haywood se pendit alors que la guerre s’achevait…
Tracy entendit dire que l’équipage fut tenu au secret, au sein de
l’hôpital de Bethesda jusqu’à la fin du conflit.
James R. Wolfe, un ancien de la Navy avoua, qu’après avoir refusé d’y
croire, il avait fini par adopter la thèse du meurtre de Morris Jessup.
Il confia : « Si l’expérience de Philadelphie reste encore
aujourd’hui totalement secrète, ce n’est pas pour épargner à la Navy le
tort que lui causeraient des révélations à ce sujet – c’est pour
préserver la réputation d’un individu. » D’après Wolfe, cet
individu aurait participé à l’organisation du meurtre de Jessup,
veillant à ce que l’affaire soit proprement arrangée. Un informateur
anonyme affirma avoir eu l’occasion de consulter des documents
confidentiels de la Navy à Washington. Il en ressortait que certaines
phases, au moins, de l’expérience étaient toujours en cours… »
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Où
il est démontré que les mythes ont la peau plus dure que ceux qui les
étudient !
L’affaire de Philadelphie connut un prolongement révélateur, il y
a de cela seize ans. Le 13
janvier 1990, Le Docteur Alfred Bielek,
physicien diplômé de Princeton et d'Harvard (fin des études en
1939) prétendit, dans un livre, intitulé The Philadelphia experiment,
puis dans une conférence, donnée le 13 Janvier 1990, au Mufon Metroplex
à Dallas, dans l'État du Texas, avoir été engagé dans la Marine
américaine, avec son frère. Le Docteur Bielek affirma avoir participé à
différentes expériences destinées à rendre invisibles divers objets.
Certaines de ces expériences ont parfaitement réussi, mais d'autres ont
été de vrais désastres, entraînant la mort du personnel et projection
dans le temps, de certains expérimentateurs, dont son frère et lui-même.
En mai 1995, Phil Schneider, qui travaillait sur l’affaire de
Philadelphie, donna une conférence durant laquelle il exposa ce qu’il
avait découvert. Sept mois plus tard, il fut découvert mort. L’enquête
conclut à une attaque. Sa veuve n’accepte toujours pas cette version.
Cynthia Drayer, vit à Portland, Oregon. Elle fut l’épouse de Philip
Scheider de 1987 à 1990, date à laquelle ils divorcèrent. Lorsqu’elle
apprit la mort de son ex-époux, Cynthia voulut voir le corps du défunt.
Il lui fut opposé l’état de décomposition du cadavre. Le lendemain,
Cynthia reçut un appel d’un détective du comté qui lui apprit que le
directeur chargé des funérailles avait trouvé quelque chose autour du
cou de Philip. Une autopsie fut pratiquée au County Medical Examiner's
office (Portland, Oregon) par le Docteur Gunson. Les conclusions furent
que Philip Schneider s’était suicidé par pendaison à l’aide d’un
caoutchouc de cathéter. On comprend que son épouse ait eu des doutes
quant à la version officiellement retenue, d’autant que son mari s’était
toujours prononcé contre le suicide en raison de ses convictions
religieuses. En outre, il craignait pour sa vie et
la sécurité de sa famille ; il s’était procuré un automatique
9mm.
Toutes
ses notes avaient disparu et cela représentait un matériel très
conséquent ; bizarrement des objets précieux et de l’argent n’avaient
pas intéressé les cambrioleurs. Par la suite Cynthia devait relever
d’autres anomalies. Aucun coroner n’avait été dépêché sur place après la
découverte du corps. Les prélèvements
de sang et d’urine ne firent l’objet d’aucune analyse. Quand
Cynthia les réclama, plus tard, afin de les soumettre à un laboratoire
indépendant, il lui fut répondu que ces prélèvements avaient été
perdus et présumés détruits!
Cynthia est persuadée que son mari a été assassiné et que la
thèse du suicide par pendaison est impossible à soutenir. En effet,
Philip avait perdu les doigts de sa main gauche, ce qui réduisait
considérablement ses capacités de mouvements. Elle mettait la mort de
Philip sur le compte de ses travaux. À la mort, en 1993, de son père, le
Capitaine Oscar Schneider, Docteur, au sein de la Navy, Philip découvrit
différents documents, ainsi que des photographies. Ces pièces
attestaient que Oscar Schneider avait été partie prenante dans le projet
Philadelphie, mais aussi dans l’opération Crossroads.
Philip était en possession de lettres, écrites entre 1940 et 1950,
indiquant que son père s’était occupé des rescapés, maintenus en
isolement, et avait procédé aux autopsies lorsqu’ils moururent.
Concernant l’opération Crossroads, relative à l’explosion de la
bombe A dans le lagon de l’Atoll de Bikini, il y avait des photos
d’O.V.N.I.’s survolant la zone. Oscar Schneider fut chargé d’examiner
les humains et les animaux qui avaient été exposés aux radiations après
l’explosion de la bombe.
Un autre événement, survenu en 1993, incita Philip Schneider à
divulguer les « black projects » gouvernementaux : le décès de son ami
Ron Rummel, retrouvé mort dans un parc de Portland. Selon les
conclusions de la police, Ron Rummel s’était suicidé en se tirant une
balle dans la bouche. Seulement, si le rapport précisait qu’il y avait
du sang sur la main de Ron, il y était dit, aussi, qu’il n’y avait pas
de sang sur l’arme !
Ron,
comme Philip et cinq autres personnes, travaillaient pour le même
magazine et donc sur les mêmes affaires…
Il ressort de la lettre de Cyntha Drayer que son époux était un
ami de Al Bielek.
[8]
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Conclusion.
Il s’est dit également que le génial Nikola Tesla,
[9]
pacifiste convaincu, refusa de participer à l’expérience de
Philadelphie, contrairement à Einstein qui « s’arrangea avec sa
conscience, comme il le fit lorsqu’il travailla à l’élaboration de la
bombe atomique. Pour l’anecdote, c’est ce même Tesla dont le rôle est
incarné par David
Bowie dans le film Le Prestige. Ce fut Tesla qui découvrit les
ondes scalaires, lesquelles furent vraisemblablement utilisées en 1943.
Depuis ces événements, Américains et Russes rivalisent dans le domaine
de l’armement psychotronique, utilisant les ondes à très basses
fréquences, notamment afin de manipuler le climat. Cette guerre des
ondes est responsable des cataclysmes à répétition, et de plus en plus
meurtriers, observés ces dernières années.
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[1]
. Le Huitième Sceau (éditions Montorgueil ) – ouvrage épuisé, mais faisant l’objet d’une
réédition augmentée sous le titre :
Quand la Terre gronde… aux
éditions MCOR.
[2]
. Les dossiers nazis, connus sous le nom de code Alsos,
retrouvés en France, rue Quentin –Bauchard, à Paris, en font
foi. Voir l’article du diplomate Richard Grandmaison « «
Khrouchtchev a dit : nous avons l’arme absolue il s’agit du
rayon de la mort » Histoire pour tous – janvier 1961.
[3]
. L’identité de cet homme n’a jamais pu être établie. Une chose
est sûre, il ne s’agissait pas d’Allende dont il va être
question ci-après. En effet, Davis à qui, des années plus tard,
fut montrée une photo d’Allende, ne reconnut pas son
interlocteur.
[4]
. Les deux dernières lettres figurent, en intégralité, dans mon
ouvrage Quand la Terre gronde… (Éditions MCOR). La
syntaxe, l’orthographe, le soulignement et l’utilisation abusive
des majuscules ont été respectés.
[5]
. Il s’agit d’une référence littéraire. Le « Chapelier fou » est
l’un des personnages de Alice aux pays des merveilles, le
chef-d’œuvre de Lewis Carroll, une variation sur le thème de
l’espace et du temps et la « traversée du miroir. »
[6]
. Visa pour une autre
Terre. Editions
J’ai Lu.
[7]
. Sur la foi de ce qu’écrivit Jacques Bergier, j’avais repris
cette information, lors de la première édition du présent livre.
Jacques Bergier, en parlant d’un meurtre avait-il extrapolé, ou
disposait-il d’informations précises ?
[8]
. Lettre originale publiée dans mon livre Quand la Terre
gronde… éditions MCOR
[9]
. Nous lui consacrerons peut-être un dossier mérité si la
direction de Top Secret le souhaite, ne serait-ce que
pour les raisons suivantes : Tesla, avec cent ans d’avance,
prédit l’épuisement
des réserves de pétrole, contre l’avis de son rival Edison,
construisit une voiture performante fonctionnant à l’électricité
etc. Ses inventions sont à la base de toute notre technologie
moderne.
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RICHARD KHAITZINE (FRANCE)
Écrivain, romancier, historien, critique d’art
et scénariste français, né le 20 septembre 1947 à Paris et demeurant à
Paris.
Il est issu d’une famille de juifs russes émigrés d’Odessa en 1914.
Au cours de sa carrière d’écrivain, il a publié une trentaine d’essais,
dont plusieurs sont devenus des livres de référence, sur des sujets
aussi divers que la littérature, la peinture, la Franc-maçonnerie, le
symbolisme, les religions et l’hermétisme. Tous ces travaux font une
large part à l’histoire de l’alchimie, aux arts et traditions populaires
qui en sont les véhicules. Il est l’auteur, également, de deux romans.
Il a participé au colloque de Lisbonne en 1999 et à celui de Quinta da
Regaleira en 2009. Richard Khaitzine se définit comme «un agitateur d’idées,
un penseur libre, un résistant qui refuse le terrorisme intellectuel et
la pensée stérilisée imposés par ceux qui séquestrent la culture dans
des nécropoles dont ils se sont autoproclamés les gardiens. » Il est
membre de la Société des gens de lettres depuis 1998.
Quelques titres publiés :
* La langue des Oiseaux (tome 1) Le second tome consacré à Georges Perec
et à Raymond Roussel est en cours de publication. * De la Parole voilée
à la Parole perdue
* Marie Madeleine et Jésus. * Quand la Terre gronde. * La Joconde,
histoire, secrets et énigme. * Le Comte de Saint-Germain, hypothèse et
affabulations.
* Peter Pan… pour une lecture intelligente des contes.
Sa biographie complète est visible sur Wikipédia
E-mail:
r.khaitzine1@aliceadsl.fr |
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© Maria Estela Guedes
estela@triplov.com
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